Scènes à tous les étages… Qu’on amuse la Muse !

Il y a les muses de la mythologie qui étaient 9. Il y eut, plus récemment, les célèbres muses des couturiers ou des rock stars. Le Mathurin a la sienne. Ronde et nonchalante, la nôtre a décidé de faire déclamer une ode à l’amour par un jeune prétendant descendu tout droit des temples de Rome. Va-t-il y arriver ? Décrochera-t-il le sésame de l’amour ? Arrivera-t-il à faire virevolter notre muse ? Car voilà, la muse ne peut être plurielle et n’est que singulière. Si notre jeune éphèbe décroche la timbale, le Mathurin n’en sera que plus orphelin. Mais rien n’est fait. La muse n’a pas dit son dernier mot. Elle a le luxe d’être chez elle. Que lui est-il proposé par ailleurs ? Je la connais bien, son regard ne trompe pas. Elle va rester, j’en suis certain. Tant mieux, je n’en n’aurai été que plus orphelin.

quon amuse la muse

‘Scènes à tous les étages’ photograph exhibition… Let us amuse the Muse!
There are the 9 muses of mythology and, more recently, the famous muses of fashion designers or rock stars. And now the Mathurin has its own muse. She is curvaceous and nonchalant and has decided to resist the attentions of a young admirer straight out of the temples of Rome. Will he convince her? Will he find the key to her love? Will he succeed in winning the heart of our muse? Because there it is, the muse cannot be plural and is only singular. If our young suitor hits the jackpot, the Mathurin will be orphaned. But we are not there yet. The muse has not said her last word. She has the luxury of feeling at home. And just what does he have to offer? I know her well. I can see it in her eyes. She is going to stay, I am sure of it. Thanks goodness, otherwise I would have felt distinctly orphaned.

Didier MOINEL DELALANDE

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